Archive for juin, 2009

Via Grand Canyon Village


2009
06.30

28 et 29 juin 2009 :

Nous avons quitté notre charmant hôtel indien dimanche vers 11h après avoir trainé de la piscine a la boutique. La famille groseille un peu cool !…

A bord de notre van Toyota, nous avons repris la route.

Première halte : Station service… Mais quelle essence alimentera notre car ? Après avoir retourné la voiture a la recherche d’une indication, nous nous sommes résignés à demander en anglais au pompiste. Nous avons pris de gros risques à le croire, mais nous pouvons aujourd’hui vous dire que sa réponse était la bonne.
Deuxième halte : market pur américain où le moindre paquet de chips fait un mètre et pèse 1 kg ! Nous ressortons avec des gros verres de coca (1L) et des pringles pour Tino (deux fois plus grande qu’à l’ordinaire).

Maman décide de prendre le volant, elle veut à tout prix conduire sur la mythique route 66… Et She did it ! Mais nous aussi nous l’avons vécu, et ce fut riche d’émotion : « Maman, pourquoi as-tu lâché le volant ? « .

Très rapidement, Rémi a repris le volant, nous avons pique niqué dans la voiture pour arriver vers 15 h à Grand canyon village.

Le routard nous avait fait une telle frayeur dans la description de l’hôtel que nous nous attendions au pire. Mais finalement, quelle joie de découvrir de charmants bungalows indiens tout en bois, au milieu d’une pinède débouchant sur la majestueuse chaine du grand Canyon.

A deux pas de notre lit, le vide… pour certains, la peur du grand saut…! Vous l’aurez compris, ces derniers ont le vertige.  Après être installés, promenade sur la « croisette », chemin longeant le grand canyon, facile d’accès et très emprunté par les touristes, d’où notre appellation de « croisette » !


Nous avons fait la connaissance de nouveaux amis : et Tino a essayé de les imiter !

Après une nuit douce et calme…

…nous avons constitué deux groupes de niveau. Vous l’aurez compris, à part le trekking pas grand chose à faire dans le grand canyon : pas de baignade (le colorado est trop dangereux (débit), et pas de piscine dans l’hotel), pas de shopping… au grand désespoir de certaines !

Le premier groupe sera composé des parents et de Pauline.

Départ cool à 10H après un petit déjeuner copieux, pour une marche de 11 kms au bord des falaises du grand canyon. Sur le chemin, de nombreux points de vue méritaient de s’y arrêter pour les photos. Rémi était aux anges. Maman a enfin apprécié ses chaussures de marche. Il faut vous dire quand même qu’il faisait 39 degrés et que le trio des débutants était parti sans eau pour ne pas se charger, et puis le sac à dos, cela fait des marques de bronzage !!! A mi parcours, assoiffé, le groupe a du solliciter (on ne sait pas comment, mais en anglais peut être), des ouvrières de la DDE qui arrosaient des arbustes. Au bout de la promenade, un magasin les attendait avec toutes les boissons possibles : coca, sprite, « red bottle » pour Rémi (je ne vous dirai pas le nom, on ne le connait pas).

Il faut quand même reconnaitre qu’ils ont été très forts… 11 kms pour des débutants, sous un soleil de plomb, c’était pas gagné ! Heureusement le panorama les a aidé… même si Pauline trouve que les cailloux ressemblent aux cailloux !
A part les cailloux, il y avait aussi des petites fleurs jaunes : fleurs de cactus !

Pour autant, le retour s’est effectué en bus !!! Heureusement qu’il y a des navettes pour les promeneurs fatigués !

Le deuxième groupe, c’est les fous. ils ambitionnaient de descendre jusqu’au Colorado, depuis le haut du canyon, soit envrion 1500 metres de dénivelé ! En fait, tous les guides sans exception précisait que cette randonnée ne pouvait absolument pas s’effectuer sur une journée. Nous avons donc revu notre plan de route et sommes descendus jusqu’au Indian gardens, soit 950 mètres de denivelé et 9 miles aller retour. Voici un apercu d’en haut de notre chemin, impressionnant non ?

L’aller a été plutôt facile, puisque c’était de la descente. cela nous a pris 2H15. Une fois à l’Indian gardens, nous avons profité de l’ombre pour pique niquer. Il nous fallait des forces pour appréhender la longue et difficile montée qui nous attendait. D’autant plus qu’il était 11H30 et que le soleil tapait très fort et que les coins ombragés étaient presque inexistants… Les mules attachées en bas faisaient presque envie, il était possible de faire la remontée sur leur dos, mais pour cela il fallait : 1/ etre américain, 2/ avoir réservé sa mule au moins 6 moins à l’avance !!! Nous avons donc pris notre courage à deux pieds !!!!

Vers 11H45, sacs sur le dos, gourdes pleines, nous commençons l’ascension du Canyon… Valentin prend très rapidement le large, nous ne le retrouverons 4 heures plus tard en haut… Il parait qu’il nous attendait depuis 2 heures !!! Il avait avancé au rythme des mules qui dégageaient des odeurs nauséabondes le forçant à avancer toujours plus vite… Christophe et Charlotte ont pris leur temps, s’autorisant quelques pauses rafraîchissantes mais sont parvenus au bout… They did it !!! Maman félicite ces groseilles marcheuses ! mais elle ne les accompagnera jamais dans de telles aventures !

Epuisés, les groseilles se sont reposées avec leur roman respectif (qui se déroulent tous en Amérique)… jusqu’à l’heure du repas, où ils ont refusé de renouveler l’expérience de la veille à l’hôtel : spaghettis au ketchup avec boulettes de pseudo viande plus que suspectes, lasagnes en carton, steacks moyens bof ! Ils sont donc partis sur les conseils avertis de Tino en direction du Pizza Hut ! Ce que nous ne vous avons pas dit, c’est qu’il y a un péage à l’entrée du parc. Péage que nous avons payé le premier jour. En retour, le gardien nous a remis un coupon vert que nous devons présenter à chaque fois que nous souhaitons rentrer dans le parc… Or ce soir, nous avions oublié notre coupon à l’hotel. Eh bien croyez nous, impossible de négocier un nouveau ticket, même en s’y mettant à trois angliscites ! La règle c’est la règle, l’autorité, c’est l’autorité, l’Amérique, c’est l’Amérique. Conclusion, nous avons fait demi tour pour aller chercher notre ticket !!!

Au menu, pizza suprème, cheese pizza et la classique peperoni pizza ! Ma foi, ce repas fut parmi les bons repas, bon rapport qualité prix. Sauf erreur de notre part, nous n’avons reçu aucun dons sur www.lesgroseillesfauchees.com, nous devons maintenir notre rigueur budgétaire (d’autant plus importante depuis que nous avons additionné toutes les dépenses déjà réalisées !)

Impression de maman sur l’Arizona : tenez vous bien cela vaut le détour :
 » En premier, un colorado très boueux, une discipline militaire chez l’ensemble des américains rencontrés qui après reflexion me parait être une très bonne chose pour l’environnement et le vivre ensemble. Même Rémi, un peu anti-américain consent à penser que cette discipline pourrait être exportée en France pour le bien-être de tous. En deuxième, le poids des jeunes fait peur, l’obésité est réellement familiale et croyez moi, rien à voir avec les rondeurs sur lesquelles les Français peuvent complexer. Il faut que les Américains continuent leur prévention sinon dans vingt ans ils seront tous très malades. C’est surtout les jeunes qui font de la peine. C’est pourquoi nous sommes désormais à 2 repas par jour et nous nous en portons bien !
En troisième lieu, je trouve que la convivialité des Américains n’est pas assez développée. Ils font peu d’effort pour nous comprendre (même quand on parle anglais), ils nous ignorent alors que nous,les Français, sommes très peu nombreux… Ils pourraient voir une occasion pour mieux connaitre notre culture ! » Pas mal ce commentaire, non ????

Toute cette inspiration lui vient directement des montagnes, croyez moi !!

Dernière dépêche, Rémi nous annonce grâce à son téléphone, un nouvel accident d’un airbus A310 au large des Commores. Cela ne nous reconforte pas, vu le nombre de trajets aériens qu’il nous reste encore à faire.

ERRATUM : Même si j’apprécie beaucoup vos remerciements, il faut rendre à Paul ce qui est à Jacques ! Certains articles ont été réalisés en étroite collaboration avec l’ensemble des groseilles mais plus particulièrement Pauline et maman. Pour autant, c’est bien moi qui les ait tous tapés ! Alors pensez s’il vous plait à remercier dans vos prochains commentaires,, toutes les groseilles ! J’ai du mal à vivre leurs reproches !!!!

Les photos sont souvent de Rémi (exceptées les « photos d’art » qui font suite à une longue reflexion de ma part!), alors un grand merci à notre photographe attitré !

Gros bisous à tous et à tout à l’heure pour le deuxième jour au Grand canyon !

+++

99 degré F


2009
06.28

27 juin 2009

Départ de l’hôtel de Las Vegas à 9H30…

Tino s’improvise copilote et est chargé de la programmation du GPS… Pas facile lorsque l’on ne connait pas l’Etat dans lequel on doit se rendre. Californie ? Nevada ? Arizona ? Que de choix !

Pauline est malade, c’est ça de ne pas s’habiller quand on passe de 40 degrés dehors à 20 degrés dans le casino climatisé… C’était couru d’avance !!! Si on l’écoute, elle est à l’article de la mort, c est la grippe porcine, il faut aller directement aux urgences… Le seul problème, c est que ce n’est pas sur notre route pour le pays des Indiens… conclusion : on fait le compromis suivant : elle passe devant (munie tout de même d’un sac en papier, juste au cas où), prend deux aspirines, et dort quelques heures ! Ouf un peu de silence !

Direction les Indiens d’Amérique et plus précisément le Grand Canyon West ou la réserve de Hualapai.
Nous sommes munis de 2 GPS, il faut bien cela car le GPS prêté avec la voiture est loin d’être fiable ! ou alors c’est un problème de programmation (n’est-ce-pas Tino!)… En effet, apres avoir roulé 2 heures, nous entendons  » Vous êtes arrivés ». Quelle surprise de nous retrouver au milieu d’un chemin de terre (si on peut encore appeler cela un chemin), au milieu de nulle part, aucune maison à l’horizon… Seul un bouc que maman accepterait soit disant de tuer pour manger, et des cactus qui devraient pouvoir nous alimenter en eau (d’après les connaissances en sciences naturelles de Valentin). Nous sommes donc complètement perdus mais pourrions peut-être survivre quelques heures !

Nous programmons alors le 2eme GPS, tout droit venu de France! Et nous retrouvons notre chemin, non sans quelques frayeurs de crevaisons ? Qui sait changer une roue ? Mais y-a-t-il seulement une roue de secours ?

Nous parcourons encore quelques dizaines de miles, en plein coeur d’un paysage désertique.

Nous vous précisons que nous sommes passé de 20 degrés C à 39 degrés C, il fait trop chaud ! Mais grâce à la clim on profite encore de nos polaires achetées à SF.

Nous parvenons alors à Grand canyon West, nous garons la voiture et nous rendons à l’accueil.


Nous nous apercevons alors que la nature coûte extrêmement cher ! Il faudra débourser un peu moins de 500 dollars pour les 6 groseilles pour la montée au Skywalk et le petit tour en bus obligatoire pour rejoindre la boutique du village indien où « le vieux sage nous attend » dixit Tino.

Skywalk : une passerelle en verre à plus de 1200 m au dessus du Grand Canyon. On commence par chausser des sur-chaussures pour ne pas rayer le verre, on est d’abord très prudent, on avance à pas de loup puis après quelques instants, on est si à l aise que l’on termine allongés par terre ! (pour avoir la sensation d’être un « vrai papillon » dixit maman).

Nous reprenons alors le bus pour un nouveau point de vue, nous escaladons à pied cette fois-ci, une petite montagne qui nous permet d’avoir une vue magnifique sur le Colorado et le Grand Canyon !


Que cette immensité est poignante, mais dommage que les Américains soient si bruyants (et c’est le référentiel Groseille qui vous le dit!) ils nous empêchent de retrouver au grand Canyon le silence du désert.
Nous sommes quand même ravis d’avoir admiré ce site grandiose. Et ce n’est pas terminé, demain nous serons au Grand Canyon Village.

Pour ne pas perdre nos habitudes de parler de bouffe, aujourd’hui petit dej léger (un croissant pour Tino) et repas a 19 heures. Vous imaginez ce que Tino a pu nous dire sur sa croissance… depuis 15 heures !!! Mais qu’est-ce-qu’on était content de manger un gros hamburger !!! Encore un !

Pour rejoindre notre hôtel, une seule route, non une seule piste de 61 miles (78 kms), plus que caillouteuse. Nous avons craint de crever x fois, pas une maison, ni une voiture à perte de vue, au début on rigolait bien, sauf peut être Remi qui devait conduire. Au bout de 15 minutes, on a moins ri, pas d’eau dans la voiture, pas de nourriture, pas de réseau (alors que nous avons souscrit l’assistance 24h/24h pour la voiture) et nos estomacs de plus en plus affamés ! Charlotte, Pauline et maman ont décidé de dormir pour oublier. Tino, tiraillé par la faim n’avait d’autre choix que de rester éveillé.

Au bout de 2 heures et demi, la piste est devenue une route, puis quelques kilomètres plus tard, la mytique route 66 devait nous conduire à notre charmant petit hôtel « Hualapai lodge ». Agréablement surpris par le cadre, nous avons eu un peu peur lorsque notre regard a croisé celui de  « Joe l Indien » (dixit Christophe) agitant fortement ses maracasses dans le hall de l’hôtel.

Plein de jeunes Indiennes, un peu fortes, d’ailleurs à ce propos nous avons très peu de « gros » à NY et SF mais depuis que nous traversons l’Amérique profonde nous en rencontrons beaucoup plus. Ceci étant si nous restions ici sans limite d’argent, je crois que nous prendrions le même chemin. Ces jeunes indiennes travaillent à l’hôtel et comme la plupart des Américains rencontrés jusque là, elles ne sont pas très avenantes.

Dès notre arrivée à l hôtel, nous avons déboulé au restaurant, heureusement car il a fermé quelques instants plus tard, et vu le désert environnant, nous aurions dû attendre le lendemain pour manger !

Nous avons ensuite profité de la piscine et du jacuzzi, que nous fréquenterons également demain matin. Comme vous pouvez le constater, le WIFI était ce soir entierement gratuit (deuxième fois depuis le début du voyage), nous en avons profite pour vous régaler. Maman a bien sur lu ses mails, Remi a surfé… Ne craignez rien, les photos suivront demain, car nous sommes sur le PC de l’hôtel (beaucoup plus pratique pour taper que le <<bijou>> de maman).

Au fait suite à vos remarques,  nos sources officielles de CNN ont bien confirmé le déces de Mickael Jackson. Nous l’avons croisé en cire à Las Vegas ou plein de jeunes filles lui jetaient des bouquets. L’enquête sur les causes de la mort est en cours et nous vous tiendrons au courant, vue que nos sources sont américaines et les vôtres francaises.

Pour autant, nous ne sommes pas plus impactés que cela, simplement tous les programmes télé sont tournés vers Mickael… Finis les dessins animés de Bob l’éponge !

Bertrand, nous regrettons que tu ne sois pas avec nous, il manque un groseille, et nous pensons fort a toi.

Bon dimanche et bonne lecture !

+++

Las Vegas


2009
06.27

26 et 27 juin 2009

Nous sommes partis de San Francisco hier midi après avoir utilisé notre dernier coupon de bus. Nous avons donc pu voir la partie verte de San Francisco, les parcs, le city hall qui ressemble beaucoup au capitole de Washington…

Contrairement aux autres deux jours, il faisait très beau au moment de quitter la ville. La vue sur le Golden Gate Bridge aurait je pense, été très différente si nous y étions allés ce jour la… Enfin, le plus dommage c est que pour éviter d’avoir trop de problèmes au moment de l enregistrement à l’ aéroport, nous étions très lourdement  habillés… jean, chaussures de marches, pull, polaire, kway… Donc autant vous dire que nous avons eu un peu chaud dans la dernière traversée de la ville en bus !

Nous sommes ensuite allés nous rassasier puisque le départ pour l’aéroport n’était prévu que pour 13h30. Un énieme hamburger pour Tino, une assiette de pancakes, œufs et lard pour Pauline, Christophe et Rémi, et une grosse coupe de fruits accompagne d un Cottage cheese immangeable pour maman et Charlotte. Même sucre ou sale, ce pseudo fromage blanc n’était pas mangeable… Heureusement les fruits étaient très bons : melon jaune, melon vert, pastèque, ananas, raisin… tout était naturel, épluchés et coupés en morceaux…

Nous avons ensuite rejoint l’hôtel pour attendre notre transfert, et la… surprise, il fallait normalement confirmer la réservation du taxi 24 heures a l avance, chose que nous n avions pas faite… Heureusement, les hommes ont négocié et nous avons pu quitté  l’hôtel de San Francisco sans d’autres encombres.

Une fois les valises chargées dans le minibus avec l’aide précieuse de Monsieur Tongue : c est le surnom que Tino a donné au gentil valet de l’hôtel, sous prétexte qu’il était très certainement d’origine asiatique… D après Tino, tous les asiatiques pourraient être dénomme Tongue !!! Nous n avons pas cherché à le contredire, cela le faisait beaucoup rire, ainsi que nous tous d ailleurs !!! Encore un fou rire général des groseilles… je vous laisse imaginer la scène. Pour la peine, Monsieur Tongue est un des rares américains a avoir eu un pourboire et devinez pourquoi, tellement vieux (sans doute proche des 80 ans) que nous nous sommes sentis obligés de porter nous mêmes nos valises. Je dois ajouter que le matin même, Tino l’avait fait enragé au moment de déposer nos valises dans la bagagerie : un méli mélo de tickets dont Monsieur Tongue ne s’est pas remis… En effet, tout est tellement cher, que nous sommes généralement plumés avant le pourboire !

Une fois à l’ aéroport, tout s’est bien passé, pas de problème de sur poids : heureusement, car je ne vois pas ce que nous aurions pu porter en plus sur nous… Nous avions troqué nos petites robes légères contre les gros vêtements de rando!

Le voyage en avion a été particulièrement agité : certains verres renverses et certains groseilles très apeurés. Heureusement que Tino nous rassurait : << Nous n allons pas nous scratcher, c’est juste des trous d’air !>>
En tous cas, nous étions bien contents lorsque nous avons pu poser les pieds sur terre …

Une fois nos bagages récupérés, nous sommes partis en direction de la compagnie de location de voitures. Au moment de récupérer la voiture, quelle a été notre surprise lorsque le gardien nous a dit : << Allez au fond du parking et prenez n’importe quelle voiture>>. En effet, les clefs étaient sur les voitures, il nous suffisait de prendre la voiture qui correspondait au modèle réservé ! Grande déception pour Tino, il voulait abandonner la grosse Toyota 8 places pour une voiture de sport dont je ne vous dirai pas le nom, de peur de me tromper !!!

Une fois sorti du parking, c’est la galère… Les américains conduisent 100 fois plus mal que les parisiens, vous imaginez… Et en plus, on se trouve à Las Vegas, au pays de la frime et du fric… C’est à celui qui fera ronfler le plus son moteur ou crisser le plus fort ses pneus!

Heureusement que notre hôtel était visible de loin, car le GPS prêté avec la voiture commençait déjà à faire des siennes !

Ainsi après un demi tour dans Las Vegas boulevard, nous sommes arrives devant le Planett Holywood. Il a fallu laisser a nouveau nos bagages à un valet et la voiture à une voiturier… Nous étions accueillis comme des pop stars… En fait, tout le monde est accueilli comme ca… car il est nécessaire de mettre les clients dans de bonnes dispositions, pourquoi pas en leur faisant croire qu’ils sont riches, célèbres et attendus… afin qu’ils aillent dépenser beaucoup beaucoup de sous dans les casinos de la ville… Car croyez  moi ce n’est pas ce qui manque !
Mais nous étions bien décidés à profiter un max sans trop se faire plumer. En tout cas, c’était notre devise en arrivant !!!

Nous avons pris possession de nos chambres, superbes, spacieuses, salles de bains grandioses avec baignoire et douche dans chacune, écran plat géant et le traditionnel coffre fort. Pour la petite histoire, le notre n’a abrité que l’iphone de Tino (déchargé et sans puce téléphone dedans…), et les vouchers pour la suite de notre périple… Toute notre fortune!!!

Nous nous sommes ensuite habilles en tenue de soirée dignes de ce nom, nous avons enfin quitté nos tenues de randonneurs pour enfiler robes, jupes, chemises, et chaussures à talons pour les plus courageuses (Pauline et maman). Ça y est vous pourrez enfin voir le moment tant attendu et admirer les robes de Charlotte et Pauline, souvenez vous, achetées dans Chinatown  à New York… Qu’en pensez vous ? C est la grande classe… !

Nous sommes ensuite partis à la recherche d’un endroit pour manger… Je suis sure qu’en lisant nos articles, vous devez vous dire que nous ne faisons que manger… Mais soyez rassurés, c est loin d’etre le cas, en fait nous sommes plutôt en moyenneà 2 repas par jour (chose pas toujours facile à gérer pour Valentin, qui justifie sa faim permanente par le fait qu’il est en pleine croissance !!!) et compte tenu des finances il se pourrait que nous ne passions plus qu’à un seul repas.

Nous avons donc trouvé un buffet, peu cher d’après le routard, où l’on pouvait manger toutes sortes de plats à volonté. Exactement ce qu’il nous fallait puisqu’il était 21h45 et que nous n avions rien avalé depuis notre petit déjeuner à San Francisco (certes pris tardivement vers 11H30, mais quand même !). Nous arrivons tout contents devant la caisse et là le décompte temporel commence… Je m explique : en fait, le buffet fermait à 22h30… Incroyable dans une ville où il parait qu’il ne faut pas dormir de la nuit… En fait, les resto ferment pour ne pas laisser d’autres choix aux gens que de dépenser tout leur argent au poker, à la roulette ou aux traditionnelles machines a sous!

Nous avons donc été très organisés, prenant chacun plusieurs assiettes que nous avons rempli avant de nous asseoir… Comme ca, libres à eux de débarrasser leur buffet, la famille groseille aurait quand même un large choix de « food » : sushis, rôti de bœuf, dinde, crabe, pizza, gratin dauphinois, cheese cake, fruits, glaces… Voici notre repas, très équilibré n’est-ce-pas ?! et pour une fois, sans hamburger!

Nous sommes ressortis bien plein et avons commencé à déambuler dans les premiers casinos, passant de Paris, a Venise (« Même pas drôle, c’est que du carton » dixit Valentin!) , puis de New York à Monte Carlo… Un vrai tour du monde sous les néons des immeubles et les musiques des machines à sous ! Impressionnante comme ballade digestive.

De plus, cette ballade était sportive car il fallait passer à travers les dizaines de gros bonhommes qui distribuaient des photos de femmes très dénudées pour ne pas dire complètement nues (photos sous formes de cartes de crédit). Le plus rigolo c’ est qu’il fallait être un homme pour avoir ces cartes. Lorsque nous approchions (les filles), le gars retirait son bras, et faisait mine qu’ il ne nous avait pas vu !Comme si nous n avions jamais vu une femme nue !!!!!! lol En revanche, les gardons pouvaient en avoir autant qu’ils en voulaient… Tino a été tente mais il n a pas voulu les garder dans sa poche, toujours par crainte d’être arrêté par les policiers !!!
Et à la fin de la soirée, il faut faire attention de ne pas glisser sur le par terre de femmes nues, tous les gars « blasés » ayant laissé au sol les cartes !!!

Puis premières douleurs plantaires pour maman et Pauline, qui ont donc choisi de rentrer doucement mais surement à l’ hôtel pour troquer leurs talons de 10 cms contre leurs tongues très plates !


Rendez vous ensuite dans le hall du casino du Planett Hollywood pour s’ atteler au sport national de Las Vegas : la dépense du dollar dans les jeux ! Valentin, lui, était déjà sous la couette, il n’osait pas s approcher des machines à sous, de peur d’être fiché dans les fichiers des Américains !!! Il voyait des caméras partout !

Pauline et Christophe ont joué et gagné (pas des millions rassurez vous, sans quoi, je vous l’aurai tout de suite dit !)

Maman et Remi ont perdu… Comme la très grande majorité des gens présents à Las Vegas hier soir. En revanche, ils ont gagné des verres et des verres de coca… GRATUIT

Charlotte ‘ est abstenue, de toute façon il y a trop de boutons sur la machine à sous !!!

Vers 2H pour les plus courageux, toute la famille groseille était au lit. Ca aurait été dommage de ne pas profiter de ce bel hotel et de passer la nuit à utiliser nos derniers dollars !

Puis le départ était matinal : 9H dans le hall de l’hôtel.

Ce soir vous avez eu droit a un long discours, le WIFI est gratuit chez les Indiens !!!

PS ; notre budget fond à grand pas, pour tout ceux qui souhaitent faire des dons : www.lesgroseillesfauches.com On pourra même vous faire des attestations fiscales pour les revenus 2009… Alors soyez généreux car sinon nous serons si maigres que vous ne nous reconnaîtrez plus… Il reste quand même 84 repas ( à raison seulement d’un unique repas par jour) !

Vous avez compris, nous sommes chez les Indiens cela fera l’objet d un prochain article.

Bye Bye !

Good Bye New York ! Hello San Francisco !


2009
06.25

24 et 25 juin 2009

Mercredi, nous avons quitté notre hôtel de NY à 5H, un car au nom de Rémi Levraut nous attendait pour nous conduire à l’aéroport.

Une fois en face de la porte d’enregistrement, le souc reprend, tous les valises, à l’exception d’une (celle de maman, devinez pourquoi !!!), était en sur poids ! Nous avons donc rouvert toutes les valises et procédé à un « troc » grandeur nature : « Christophe prend mes chaussures de marche dans ton sac », « Rémi, mets mes livres dans ton sac OL », « Valentin, mets ta veste sur toi »… Charlotte et Pauline, pourquoi vous vous êtes mises en tongues et petite jupette ! Les chaussures de marche & les gros jeans soigneusement rangés dans les valises !!! Ca fait du poids !!!!!

Nous nous en sommes sortis en remplissant encore une fois notre super sac OL. Hier il ne faisait pas encore 23 kgs ! Mais après la visite de Tino chez Aber Combie (pour plus d’explications sur cette marque, demandez à Tino), nous vous reparlerons lors du prochain enregistrement (vendredi pour Las Vegas).

Nous voilà dans l’avion NY – SFO et quelques frayeurs pour Christophe & Pauline. C’est vrai que l’avion bougeait pas mal et que l’on ne contrôle rien !!;

Valentin, lui, était coincé à coté d’un gros noir, qui a dormi tout le long du vol… Valentin est si bien élevé qu’il n’osait même pas réveiller le Monsieur pour se rendre aux WC… ! Pauvre Tino. Quant à Charlotte, elle était assise à coté d’un businessman américain, plutôt beau gosse mais alors trouillard (il a avalé au moins 5 pilules durant le vol, il a fait le signe de croix au moment du décollage), peut-être cultivé (il lisait le journal de la bourse) et impatient (il n’a pas pu attendre d’avoir enlevé sa ceinture pour téléphoner ce qui fait qu’il a manqué de tomber au moment de sortir de l’avion !!!)

Une fois que nous avons quitté l’avion, nous avons rejoint notre hôtel 480 Sutter en plein cœur du quartier commerçant !

Il était l’heure de manger : nous avons alors suivi les conseils de Rémi tout droit sorti du roman qu’il était en train de finir : le dernier roman de Musso. Même si le restaurant ne s‘appelait pas exactement comme dans le roman (Le café des anges dans le roman contre le café de la presse en réalité), Rémi est convaincu que compte tenu des descriptions, il s‘agit du même lieu : celui où Martin (le héros du roman) venait manger avec sa maîtresse ! Bref, il s’agissait d’un restaurant français ressemblant de très près à nos brasseries chic…


A peine assis, Tino s’est jeté sur les panières de pain, et pourtant cela ne faisait que 5 jours qu’il n’en avait pas vu !!!! Au menu, steak tartare, poulet rôti, salade lyonnaise, petit salé aux lentilles… Que de bonnes choses pour la famille Groseille écœurée des hamburgers et des frites… Le sourire est revenu, jusqu’au moment de l’addition seulement… ! Il y avait plus de 25 % de tax (à rajouter par rapport aux prix indiqués sur le menu !)… Il nous facturait non seulement leurs pourboires, mais aussi leur sécurité sociale !!!

Nous nous sommes ensuite dirigés vers le port, bien décidés à aller visiter l’Alcatraz (ancienne prison). Vous remarquerez avec les photos que la ville est beaucoup plus « basse » que NY, avec des rues pentues de maisons individuelles.

Pour rejoindre le port, nous avons pris, à la sauvette, le cable car. En fait, nous sommes innocemment montés dedans, mais au moment où le contrôleur nous a demandé le règlement de nos tickets, nous avons sauté en marche, faisant mine que nous ne comprenions pas le problème !!! En fait un ticket coutait 5 dollars, TROP cher pour la famille groseille qui venait de laisser 200 dollars pour manger français.

Nous avons donc terminé à pied… Nous sommes passés non loin de la Coït Tower (merci Pauline pour l’explication !). Une fois arrivés devant le quai où partait le bateau pour l’ile d’Alcatraz, nous avons constaté qu’il aurait fallu réserver ; les prochains billets disponibles étant pour samedi… Tant pis pour nous, nous nous contenterons des commentaires du guide du routard.

Nous avons ensuite longé le port et avons acheté des billets pour les circuits en bus. Découvrir une ville en bus, c’est quand même pas mal, n’est ce pas maman ! (elle commence à avoir les courbatures du premier, du deuxième et du troisième jour de marche !)

Nous sommes donc montés dans le bus pour rejoindre le bas de la ville. Il faisait très froid surtout avec le vent du bus, nous n’avions pas prévu, Pauline et Charlotte ayant même opté pour la jupe et les tongues !!! Nous sommes donc tous arrivé « congelés » devant le magasin Aber Combie. Tino nous a trainés dedans, il a finalement acheté de nombreux vêtements, il fallait venir aux states pour cette marque, parait-il ! Pauline et Christophe ont préféré rejoindre leur chambre et leur lit douillet !

Nous sommes ressortis un peu plus tard pour déjeuner dans un vrai delicatessen américain, hamburger et frites pour changer !

Jeudi matin, maman est malade, certainement un coup de froid hier ou une petite indigestion… ou peut être la grippe porcine !!! C’est vrai que nous n’avons pas été très disciplinés car nous n’avons pas porté les masques !!! Ah si Pauline a porté le sien 5 minutes à l’aéroport de Lyon !!! Donc maman reste au lit, Rémi la veille, Pauline et Christophe font la grasse mat…

Bref, Charlotte et Valentin partent donc tous les deux se chercher un endroit sympa pour le petit déjeuner. Et ils trouvent le « Lorris », typiquement américain où ils mangeront des œufs, des pancakes, du lard grillé et de la saucisse de bœuf, le tout accompagné d’un thé ou d’un chocolat chaud ! Pas mal ! Avec ca, ils tiendront au moins 4 heures !!!

De retour à l’hôtel, nous retrouvons les 4 dormeurs et décidons ensemble de la suite du programme.

Tino part de son coté, retrouver un copain des maristes en échange à san francisco.

Le reste de la famille Groseille décide d’amortir son ticket de bus, départ donc pour le circuit du célèbre Golden Gate. Il fait encore plus froid qu’hier, le vent est glacial, et même en ayant prévu le coup, nous sommes frigorifiés. Pauline et Christophe ont eux de la chance, ils ont dégoté une des couvertures polaires mises à disposition dans le bus…

Après quelques traversées de rues, nous arrivons au Golden Gate : mais il est dans le brouillard… Tant pis, nous le traversons quand même, toujours en bus. Nous aurions pu emprunter des vélos ou le traverser à pied, mais le bus c’est pas mal pour le repos de nos jambes ! Eh oui, le pont fait quand même 3 kms de long.

Une fois quelques photos prises, nous faisons demi-tour et repartons pour une nouvelle traversée du pont. Ensuite nous traversons un quartier résidentiel chic avec des maisons individuelles qui rappellent beaucoup les lieux de certaines séries ou films américains.


Qu’en dites-vous ?

Le bus nous ramène ensuite vers le Port, la station balnéaire de San Francisco. Des étalages de fruits de mer s’enchainent, de nombreux magasins de souvenirs et de vêtements parfaitement adaptés au sale temps de San Francisco sont bondés de touristes… Nous aussi, nous serons piégés ! Christophe investit dans une très belle parka, réversible en polaire. Maman et Charlotte s’offrent une polaire toute douce pour avoir plus chaud… Encore du poids pour les valises… Comment allons-nous faire demain ? Bon, on verra bien, chaque chose en son temps !

Petite halte pour déguster un crabe, fraichement préparé devant nous ! Vous devez vous demander ce que signifier de préparer un crabe ? En fait, il s’agit de le prédécouper et « pré casser »… C’était vraiment délicieux. Le seul problème, c’est de protéger sa nourriture des mouettes qui n’attendent qu’une minute d’inattention pour s’emparer de notre festin. Heureusement, Rémi, qui ne souhaitait pas manger de crabe, a monté la garde ! Merci Rémi !


Nous nous sommes ensuite baladés le long du port, très animé. Nous nous serions crus chez Disneyland, tellement les maisonnettes accueillant les magasins étaient charmantes et colorées.

Puis au bout du ponton du quai 39, nous avons eu la chance de voir des lions de mer. Ils étaient très nombreux et faisaient énormément de bruit. Assez impressionnant !

Après une petite halte dans un pub irlandais, où Rémi et Christophe ont trouvé le moyen de se faire payer un coup (pour avoir trouvé la solution de l’énigme qu’un client venait de leur soumettre…), nous avons repris le bus direction Union Square puis de l’hôtel.

Petite sieste alors pour certains, petite balade shopping pour deux autres puis petite heure sportive pour le restant. Faites vos choix !

La journée se termine par un repas dans un restaurant chinois de Chinatown. Les plats sont très copieux, le cadre assez sympa. Nous avons bien mangé et sommes prêts pour notre dernière nuit à San Francisco.

Demain matin, nous profiterons encore quelques heures de la ville avant de nous envoler pour las Végas…

Dernières aventures New Yorkaises


2009
06.24

22 et 23 juin 2009 : Voyage au cœur de New York

Tout d’abord, merci à tous pour vos témoignages.

Reprenons notre récit… J3 & J4 !

Vous vous souvenez certainement que Pauline vous avait parlé d’un footing dans Central Park avec Charlotte… Eh bien, le footing a bien eu lieu, mais il fût extrêmement bref !A peine 5 minutes après avoir rejoint le parc, Pauline a trouvé toutes sortes d’excuses (peut être légitimes, I don’t know) pour interrompre le footing… Nous avons tout de même apprécié le cadre magnifique, Central Parc est vraiment un endroit charmant, verdoyant, animé (il y a une foule de vrais coureurs pour le coup !). Nous pouvions presque oublier que nous étions à New York City…

Heureusement, il suffit de lever la tête légèrement pour très vite s‘apercevoir que l’on ne voit pas le toit des immeubles… Ouf les fusées ont toujours là ! Il faut que je vous explique cette allusion… A plusieurs reprises, maman s’est exclamée alors que nous marchions au hasard dans la ville « Qu’est ce que j’aime toutes ces fusées autour de moi ! » Intéressante comme comparaison, l’imagination est vraiment un élément unique et incontrôlable !!!! Ainsi, nous avons choisi à l’unanimité de nommer désormais les gratte-ciels : les FUSEES ! La Nasa n’a qu’à bien se tenir !

Après cette brève excursion à Central Park, nous avons rejoint Maman et Rémi à Times Square avant de prendre le temps d’un breakfast. Encore quelques petits soucis pour obtenir notre repas. Nous n’avions pas compris qu’il fallait commander notre assiette, attendre qu’elle soit prête pour ensuite payer à la caisse, assiette à la main… Nous, nous avions préféré : payer d’abord puis présenter notre ticket au cuisinier pour la préparation des assiettes. Pas totalement insensé, qu’en pensez-vous ? Sauf que les Américains ne sont pas créatifs, ce nouveau mode de fonctionnement ne les a pas fait rire du tout : nous avons eu droit à un baratin incompréhensible accompagné de grands gestes… puis un temps d’attente interminable, enfin nos œufs et nos pancakes !

Le ventre presque plein, nous avons constitué deux groupes, le premier (les enfants) en direction de Madame Tussauds (musée de cire) et le second (les parents) en direction des boutiques. Je ne pourrais donc vous détailler que la première option, vous l’aurez compris : je n’ai pas connaissance des précisions de la seconde !

Grâce à des prospectus que Tino avait récupérés à l’hôtel, nous avons pu doubler toute la file d’attente du musée. Retenez donc que cela peut servir de traîner derrière les multiples présentoirs des hôtels. Nous avons monté les escaliers de l’entrée, pris l’ascenseur puis nous sommes entrés dans la salle de gala. Au cours de ce cocktail, nous avons rencontré des personnages célèbres (Jennifer Lopez, Julia Roberts…), serré la main de Brad Pitt et Angélina Jolie, discuté avec Woody Allen de son prochain film… Très sympa !

Nous avons ensuite pris le chemin de la chambre de l’horreur… Au programme : passage au milieu de toiles d’araignées pendantes, bruits suspects, atmosphère sombre et angoissante assez bien réussie, fantômes terrifiants… Ceci nous a valu une bonne crise de fou rire pour certains et la crise de nerfs pour d’autres. Eh oui, nous ne sommes pas tous égaux devant la peur ! Pour retrouver nos esprits, nous avons rejoint la salle de concert, nous avons apprécié la calme musique british des Beatles, la musique plus rock de Jimmy Hendrix, le reagge de Bob puis les Spice Girls pour finir.

Nous avons ensuite pris un café avec Georges Clooney, salué Bill Gates (çà peut toujours servir !), félicité Barack Obama, ignoré Georges Bush, témoigné notre admiration à Gandhi et pris une photo à coté du plus grand basketteur au monde (les bras en l’air, Tino lui chatouillait à peine le front !) Impressionnant ! Là aussi, nous ne sommes pas tous égaux !!!!

Bref, pour ceux qui n’avaient pas tous suivi, ce musée rassemble un grand nombre de personnages célèbres en cire (show biz, politique, sport…). Mais à noter qu’il n’y a personne de français… Conclusion : nous ne sommes pas suffisamment célèbres pour avoir notre double à NY… Mais qu’est ce que la célébrité ??? A vos commentaires !

Nous avons ensuite pris le bus puis traversé cette fois-ci les quartiers Nord de la ville : Mi-town, Central Park, Harlem… Rien à voir avec Manhattan, les fusées se font de plus en plus rares pour laisser la place à des immeubles plus modestes.

Puis, nous avons continué les visites, pour certains (Anne, Rémi et Charlotte) le musée Moma (Museum of Modern Art) et pour d‘autres (Valentin, Pauline et Christophe) le musée d‘histoire naturelle. Dans le premier, nous avons admiré de nombreuses peintures du XVIIIème au XXème siècle, beaucoup de Picasso, du Kandinsky, du Klimt, Andy Warhol, Gauguin, Van Gogh et beaucoup d’autres…

Contrairement à Madame Tussauds, la France était cette fois-ci bien représentée. Pour le musée d’histoire naturelle, j’ai cru comprendre qu’ils avaient vu beaucoup de squelettes d’animaux divers (dinosaures, hippopotame, rhinocéros…) Cette visite a été forte utile à Pauline qui semble avoir eu quelques soucis à différentier le rhinocéros de l’hippopotame. Encore une fois, nous ne sommes pas tous égaux ! La culture n’est pas innée… Elle s’acquiert… N’hésitez donc pas à inviter Pauline lors de votre prochaine visite au musée Guimet !

Après ces instants culturels, nous étions affamés : nous n’avions rien mangé depuis les œufs de 10 heures et il était 17H30. Nous avons donc décidé de nous rendre à Chinatown pour tester un resto recommandé par le Routard. Nous avons donc levé le bras, sommes monté dans un taxi jaune et avons ouvert la porte d’un petit resto typiquement chinois. Après avoir longuement lu la carte (les plats étaient nombreux), abusé de la gentillesse du serveur pour connaitre la différence entre le bœuf au barbecue et le bœuf grillé nous avons fait notre choix. Les assiettes sont arrivées, copieuses et appétissantes. Même si ce n’était pas de la blanquette de mamy ou des grenouilles de Bruno, nous nous sommes tout de même régalés. Maman a tout mangé malgré sa réticence (elle a beaucoup de mal à oublier les fameuses émissions (Capital ou Zone Interdite je crois) qui étaient diffusées il y a quelques années sur la propreté ou plutôt le manque d’hygiène des restaurants chinois), Rémi en a même repris ! Quand je vous disais que nous étions affamés, je ne blaguais pas !

Nous nous sommes ensuite promenés dans le quartier chinois, nous avons fait quelques emplettes : Valentin a enfin accepté de s’acheter des chaussures dignes de ce nom, Rémi a offert à Charlotte et Pauline une jolie robe de soirée pour Las Végas ! Vous ne les verrez pas aujourd’hui, soyez patients… Il faudra attendre d’être à Las Végas !!!

Nous avons ensuite repris le bus pour le circuit de nuit dans Manhattan. Nous avons traversé le pont de Brooklyn, roulé à travers ce quartier que nous n’avions encore pas visité, puis admiré les vues magnifiques de Manhattan by night. Les fusées éclairées, c’est vraiment très beau. Nous n’avons malheureusement pas beaucoup de photos de nuit, trop difficiles lorsque le bus roule ! Par contre une petite photo de nous, en puncho, il pleut encore. Heureusement, le compagnie de bus nous a équipé contre la pluie !!!

Vers 21H30, le bus nous a déposé à Times Squares, nous avons marché une bonne vingtaine de minutes avant de regagner notre hôtel. Et là, quelle a été notre surprise lorsque nous avons croisé, dans l’ascenseur, plusieurs personnes en pyjama, Oui, Oui, Oui, en pyjama !!! Bizarre ces touristes ! Enfin, nous avons très vite compris le problème lorsque nous avons voulu nous laver les mains dans notre chambre, il n’y avait pas d’eau. Nous sommes alors descendus à notre tour à la réception, mais attention, habillés pour notre part !!!! Eh là, nous avons appris qu’il fallait dire adieu à la douche tant attendue…

Le lendemain matin, (mardi), premier reflexe : ouvrir le robinet d’eau… Toujours rien, alors que pourtant cela devait être réparé et opérationnel « mardi matin tôt » d’après le trac déposé sous notre porte dans la nuit. Nous nous sommes donc préparés, bien décidés à profiter de cette situation pour se faire offrir le petit déjeuner. La négociation ne fut pas compliquée, l’hotel ayant prévu des tickets pour le petit déjeuner. Nous avons donc mangé un gros muffin accompagné d’un chocolat chaud et d’un jus d’orange pressé. A défaut d’être propres, nous étions rassasiés…

Nous sommes alors partis en direction de Central Park pour louer des vélos. Après une brève négociation des prix auprès d’un vendeur dans la rue, nous avons attendu quelques instants nos vélos… nous demandant d’où ils pouvaient bien provenir ; en effet, il n’y avait pas de vélos stationnés visibles… Bref en attendant, Rémi a été missionné d’attirer de nouveaux clients… Comme simples outils de travail : sa voix, le panneau que le gars lui a laissé et son anglais ! Nous avons bien rigolé !


Puis nous avons vu le gars revenir avec 6 vélos ! A nous les pistes cyclables du parc…

Nous n’étions pas tout seul mais ce fut néanmoins très sympa même si Valentin était un peu déprimé de se faire « doubler par des papis de 65 ans ». Eh oui, certains américains sont sportifs et très en forme…


Nous avons fait quelques haltes près des lacs artificiels avant de nous diriger vers Strawberry Fields et la célèbre mosaïque rendant hommage à John Lennon assassiné tout près en 1980.

Maman et Charlotte ont alors décidé d’aller visiter la fameuse collection du riche industriel M. Frick présentée dans son hôtel particulier non loin de Central Park. Valentin et Christophe ont donc gentiment proposé de prendre nos deux vélos pour les rapporter au lieu de location. Apparemment (d’après les échos de Pauline et Rémi), la descente de Central Park avec deux vélos fut assez laborieuse !


Le musée Frick était magnifique : de nombreux tableaux présentés dans des salles spatieuses… Au milieu de l’hôtel, une cour couverte aménagée d’une fontaine, de statues et de palmiers, créant une atmosphère relaxante et paisible.
Mamy, tu dois te souvenir, tu avais beaucoup aimé ce lieu !
Nous n’avons pas de photo intérieure, c’était interdit.

Pendant ce temps, les autres membres Groseilles ont visité le musée des Indiens d’Amériques. Un peu de déception, ils n’ont pas pu voir autant de pièces que ce qui était mentionné dans le guide.

Nous nous sommes ensuite retrouvés à Battery Park, au sud de Manhattan pour aller prendre le Staten Ferry et apercevoir une dernière fois la vue sur Manhattan ainsi que sur Liberty Island.

Nous sommes ensuite rentrés à l’hotel en empruntant le métro. Pas évident de se repérer entre les différentes lignes, les numéros et les couleurs ! Après de nombreuse traversées des tunnels du métro et un changement, nous sommes arrivés à destination : Colombus Street, à deux rues de l’hotel ! Les plus sales ont alors monopolisé les salles de bains… Non, nous en avions vraiment tous besoin ! Puis Pauline, Tino et moi sommes partis à la recherche d’un casse croute, nous avons opté pour un superbe plateau de sushis et Tino & Maman pour un hamburger… Tino avait de mauvais souvenirs des sushis, mamy tu t’en rappelles peut-être et maman avait déjà testé le chinois, donc pas trop de nouveautés d’un coup ! Mieux vaut rester sur les valeurs sures des US !!!! Enfin vous comprendrez dès demain lorsque je vous expliquerai notre première journée à San Francisco que nous commencons déjà à fuir les Hamburgers !!!!

Nous voilà donc depuis hier midi à San Francisco, nous avons quitté NYC mercredi à 8H.

Je vous en dirai plus sur SF très vite,

Gros bisous,

J 2 à New York City


2009
06.22

21 juin 2009

Réveil en fanfare par notre Tino ! 7H tout le monde debout ! Premier petit déjeuner à New York ! Problème : personne ne comprend vraiment la carte, finalement ce sera œufs au bacon pour maman et Pauline, pain perdu pour Christophe et pan cakes pour les autres ! Note salée 90 dollars !

C’est le ventre bien rempli que nous partons conquérir la ville.

Après la négociation avec le sympathique vendeur de ticket de bus,

nous arrivons au 86 ème étage de l’empire state building où nous attend une vue splendide de New York.

Pauline se sent tout petite face à l’immensité et la splendeur de la « Big Apple ». Vient après le temps du shopping au Macy’s, oui maman, c’est plus grand que les galeries Lafayette de Paris puisque c’est le plus grand magasin du monde.

6 robes plus tard, nous  rejoignons les hommes au « Burger King » et là, nous sommes frappés par l’amabilité Américaine, il faut pleurer pour avoir son burger qui n’est pas si « King » que ça ! Pauline et Charlotte ont encore une fois été victimes du shopping, Charlotte munie d’une casquette « Princess New York » et Pauline d’un sweat flachi se verront arnaquées de 10 dollars 15+5+5 = 35 !!!

Un petit tour de bus et de bateau plus tard, nous voici aux pieds de « Lady Liberty ».

Une forte pluie nous accompagne, mais heureusement nous sommes parés !!! N’est ce pas ?

mais rien ne pourra empêcher l’admiration de l’œuvre magnifique de Bartholdi. En raison de l’heure tardive (17H) nous ne pourrons suivre les traces des millions d’immigrants d’Ellis Island. De retour sur la terre ferme, et complètement trempés, nous reprenons place dans le bus, traversons Chinatown, admirons le pont de Brooklyn, et l’immensité architecturale de Manhattan.


Notre voyage au cœur de New-York, se termine dans un restaurant végétarien Turc, où nous déciderons finalement de ne prendre que l’apéro. Maman reremplira sa cannette de « Diet Coke » et devient une accro du « Doggy Bag ». 100 mètres plus bas, le Tino affamé nous déniche un fameux restaurant Mexicain où nous mangerons des « Burritos ». Encore quelques pas et nous serons à l’hôtel non moins fatigués

.

Il est l’heure de se coucher car Pauline et Charlotte ont prévu un footing dans central pack (la blague). RDV demain matin 7h45.

PS: Merci à tous pour vos commentaires, continuez please !

PS2: Même aux USA, le wifi est très lent… nous vous metron donc le prochain article demain pour la journée de lundi et mardi.

Arrivée à New York City


2009
06.21

20 juin 2009

Nous voilà fraichement débarqués à NY ! Mais pas sans peine !

Petit récapitulatif :
– En arrivant à l’aéroport Saint Exupéry, nous avons la surprise (non en fait ce n’était une surprise que pour maman) de découvrir que sa valise dépassait de presque 8 kilos le maximum autorisé par la compagnie aérienne.
Conclusion : 2 solutions, soit 150 dollars de surtaxe (super le début de la journée), soit acheter un sac à l’aéroport pour transvaser le surplus,
Vous vous doutez donc que c’est cette deuxième option que nous avons retenue ! Nous sommes donc partis en courant faire les boutiques de l’aéroport pendant que maman commençait à ouvrir et trier sa valise devant le comptoir de Delta Airlines. Heureusement, les hotesses étaient très sympas. C’est donc armé d’un sac de plus, à l’éphigie de l’OL que nous avons finalement embarqués.

Avant de pénétrer dans l’avion, Pauline et Tino ont expérimenté la fouille intégrale. Un peu plus et Pauline restait à Lyon ! Elle avait 3 briquets dans son sac à dos (soit disant sans le savoir !) Autant vous dire qu’après avoir passé 2 contrôles aux rayons, çà ne fait pas rire les gardiens !!! Bon c’est certainement sa petite tête d’ange qui l’a sauvée ! Elle a simplement perdu ses trois briquets dans l’histoire ! Après tout cela lui donnera l’occasion de s’acheter un briquet « I love New York » !

A bord, diverses activités : dodo (faut bien digérer le poulet qui nous a été servi à peine montés dans l’avion, soit vers 10 heures!), films (en français si on cherchait bien dans le répertoire), jeux, lecture… A noter quand même que le dodo a été très largement préféré aux autres activités (n’est ce pas maman!)

Bon après 8H20 de vol, nous avons attéri sur le sol américain. Il a fallu environ 20 bonnes minutes aux hotesses pour nous lister l’ensemble des formalités à accomplir pour sortir de l’aéroport : le formulaire vert (au cas où nous serions des groseilles terroristes en route pour les US!), le formulaire bleu (au cas où nous apportions des marchandises suspectes, genre camembert ou saucisson !), la photo numérique que le douanier nous demandera avec son plus grand sourire, l’impression de nos empreintes pour remplir un peu plus le fichier américain ! Bref, après ces multiples contrôles, nous avons eu la grande chance de trouver facilement notre chauffeur de limousine.

Eh oui, Rémi avait craqué pour une arrivée à NYC en limouine (comme dans les films!) Après de chaleureuses pésentations, le chauffeur nous a fait parcourir quelques centaines de mètres en direction des parkings. Plus nous avancions et plus nous senions la limouine nous echapper ! Pourquoi la limousine n’était-elle pas garée devant le terminal ??? C’est louche cette histoire. Une fois devant les caisses automatiques du parking 1, le chauffeur nous a demandé de nous arrêter et de l’attendre là prétextant qu’il allait chercher « the car »… Nouveau fou-rire ! On guettait lalimousine, mais il n’y avait que des pick-up, des mini-bus (qui rappelaient celui de l’APF!), jusqu’au moment où nous lavons vue !!! Noire, très longue, brillante, impécablement nettoyée…

Nous avons immortalisé l’instant puis sommes montés nous installer! C’était assez curieux de voir les touristes nous photographier !… Un instant de star ! Nous avions à notre disposition champagne et whisky, mais nous n’avons pas craqué, craignant une addition un peu salée !

Une fois à l’hotel, nous avons réceptionné nos chambres, déposé nos lourds bagages … Quelques instants dans le hall de l’hotel :


puis avons décidé du programme. Il est alors 13H30 à NYC (19H30 en France)! L’excitation était encore trop présente et masquait pour quelques instants encore la fatigue !

Le temps n’était pas au beau fixe, en fait il pleuvait, nous avons décidé d’abandonner l’idée d’une longueur de piscine (fermée d’ailleurs) pour une petite promenade d’acclimatation dans Mi-town (le haut de la ville).
Ci-dessous, vous pourrez voir la vue de notre chambre, directement sur la piscine !

Nous avons vu de grands building, certains modernes, d’autres anciens, certains en verre, d’autres en briques rouges… Nous avons aussi tenté d’apercevoir le haut des grattes-ciel. Décidément, ils portent bien leur nom, et donneraient presque mal à la tête !

Après une visite d’un magasin Apple Store, d’une boutique Burbery, nous avons choisi de commencer à découvrir la gastronomie américaine en goûtant les hamburgers du Mac Donald’s ! Cette petite pause entre Madison Street et la Vème avenue nous a épuisée, çà y est la fatigue commence à avoir raison de nous…

Pourtant, comme il n’était que 16H nous avons continué notre ballade en direction de Times Square.

Très rapidement, nous avons aperçu les écrans géants, les magasins complètement démesurés, les affiches de spectacles gigantesques en 3D…

Nous avons même pénétré dans le célèbre magasin de bonbons à la cacahuète !

Valentin a commencé à se préparer un petit souvenir mais au moment de payer, il s’est finalement dit que 22 $ de bonbons, cela faisait cher !!! Alors, il s’est sagement avisé ! Pauline et Christophe ont en revanche craqué !!!!

Mouillés et épuisés, nous avons fini par rejoindre l’Holiday Inn vers 19H! Je crois que quelques instants plus tard, nous serons tous au lit ! Cela fait en fait presque 20 heures que le réveil a sonné !!!!

A demain !

Bisous New Yorkais tout mouillés !

J-6 : Préparation des valises


2009
06.14

14 juin 2009
Combien de culottes je dois emporter ? 10, je crains que ce soit juste !
Quelles tongues seront les mieux assorties avec mon bikini ?

Mon sac est trop petit, je peux pas mettre mon ordi ! Rémi, tu peux le mettre dans ton sac s’il te plaiiiiit… J’ai pas le choix, tu comprends !
Maman vient de s’apercevoir que ce serait plutôt une bonne idée d’apporter un dictionnaire !!! Le seul problème, c’est qu’elle n’a pas… C’est pas grave, « elle ne parlera pas avec les américains, mais qu’avec nous… » dixit maman. Pauline sera contente, elle aura une compagne de paroles !

Faut-il que je prenne ma serviette de toilette mickey ? Enfin, Pauline, on va dans des hôtels qui ont la piscine sur le toit, donc j’espère bien qu’ils pourront nous fournir des serviettes pour la douche !

Valentin ne veut pas prendre ses super chaussures de marche, il parait que c’est BOF de prendre des chaussures de marche pour marcher… « De toute façon, Le Grand Canyon çà se fait pas à pied mais en hélico ! » dixit Valentin ! Il a déjà des goûts de luxe…

Rémi a heureusement trouvé sa veste d’aventurier ! Devinez combien il y a de poches !!! Une pour le couteau, on sait jamais ce qui peut surgir du Grand Canyon ! Une autre pour le petit enca de 10 heures et une autre pour l’appareil photo…

Et les passeports, qui s’en charge ?!!! Je suggère que chacun soit autonome !!

Rémi critique l’utilisation fort pratique du sac à dos du randonneur !!! Je pense qu’il va très bientôt regretter d’avoir à tirer sa valise verte dans les aéroports surchargés de touristes et de policiers américains ! On verra qui rira le dernier !

Vendredi, on couche chez mamy. Il parait que c’est plus pratique pour la navette, l’aéroport, le taxi… Quelle épopée ! Imaginez la famille groseille répartie sur un lit et demi… Aïe Aïe Aïe !!!
« Mamy est contente, elle aura 3 semaines pour s’en remettre ! » Dixit Rémi…

Mamy, je te conseille de mettre tes meubles au garde meuble, de remplir le frigo de bière et de charcuterie (après tout c’est le début des vacances, ça s’arrose !) et enfin de commander une femme de ménage pour le lendemain. Tu peux composer le numéro d’At Home ! Ils ont l’air pas mal !!! Le seul problème, c’est que j’ai cru comprendre que leur meilleure employée sera en congé, mais bon, personne n’est irremplaçable, c’est ce qu’on dit !

Suite au prochain épisode !